La Fabrique du ski et Marie Martinod, une histoire de passionnés…
Il était une fois un homme passionné qui avait décidé , après de longues années à fabriquer des skis pour les marques établies depuis La moitié du XXème siècle, de transformer une vieille bâtisse à l’orée de Saint Pierre de Chartreuse, et d’en faire un atelier.
Cet atelier sentait bon le bois de bambou, et les copeaux qui jonchaient le sol étaient la plus prestigieuse moquette que l’on pu trouver alentour.
Mais par dessus tout, cet atelier était un petit paradis sur terre. Un endroit où il décidait seul de La forme des planches, des côtes à leur appliquer, des matériaux à coller sur ce bois, de la taille des carres a emboutir, pour donner vie, non pas à des marionettes comme ce sacré Gepetto, mais à des skis. À ceci prêt que ces skis avaient une âme , un peu de son âme certainement.
Cet homme, dont La réputation traversait les mers et les océans, avait réalisé un rêve, celui de vivre de sa passion.
Se faisant, il réussi en moins de 10 minutes, à faire rêver une vieille skieuse de half pipe qui avaient déjà poncé quelques paires de skis…
Dès leur première rencontre, elle sût quasiment instantanément que ce serait lui qui fabriquerait les skis qui l’aideraient à continuer de vivre, elle aussi, de sa passion.
C’est une histoire vraie, C’est notre histoire maintenant, et je suis très très fière de vous annoncer, à vous qui me soutenez à chaque instant de ma carrière, que je skie dorénavant pour la plus française, La plus novatrice , et La plus poétique des marques de ski qui existe sur cette jolie planète de passionnés !
Marie Martinod, le 17 Oct. 2016
Marie, avec son Palmarès, aurait pu prétendre à bien d’autres possibilités que la Fabrique du ski. Pour pouvoir vivre sa passion, son sport, le sponsoring est vital. Oui mais voilà, elle a choisi La Fabrique… Et la fabrique est une petite société qui n’a pas la possibilité de l’aider autrement qu’en lui faisant des skis, un modèle dédié et quelques paires, c’est tout ce que nous pouvons faire…
Sans son partenaire nouveau E.Leclerc Aime La Plagne, c’était fini.
Marie n’a pas fait le choix de la facilité, bien au contraire.
C’est elle qui aide La Fabrique et pas l’inverse. Soyez-en convaincu !
Merci Marie !